Je le dis souvent, c’est par “des petits pas”, que j’ai démarré réellement mon activité de médium et d’énergéticienne.

Des petits pas dans l’énergétique, des petits pas dans la médiumnité. Je n’y connaissais rien, je naviguais dans un milieu totalement inconnu, ne faisant confiance qu’à mes petites voix. Celles dans ma tête, qui m’ont soutenues envers et contre tout. Ces petites voix en qui j’ai placé toute ma foi, à qui j’ai appris à faire confiance, pour qu’elles deviennent de vraies alliées.

Après un parcours mouvementé, je me suis vraiment lancée dans mon activité actuelle en janvier 2021. J’étais enfin prête. Le coup de pieds de l’Univers m’a fait sortir d’un emploi qui ne me convenait pas, par insécurité, par peur… Je ne le remercierais jamais assez ! Ma micro-entreprise était créée depuis juillet 2019, mais ne correspondait plus du tout à ce que je désirais et vibrais. Les expériences m’avaient emmenée vers un destin que je n’imaginais absolument pas ! Je ne pouvais plus faire marche arrière, j’ai accepté. J’en suis aujourd’hui comblée.

Des séances à distance, sur photo

Au départ, je recevais chez moi, en présentiel, dans une pièce dédiée. J’utilisais le pendule au-dessus de mes consultants. J’utilisais mes mains. Je transmettais les informations reçues en médiumnité. Les divers confinements m’ont amenée à stopper cette pratique qui, de toute évidence, ne me convenait qu’à moitié.

J’ai donc commencé par proposer des séances énergétiques de “déprogrammation cellulaire”, à distance, sur photo.

J’avais besoin de me tester, de prendre confiance en moi et en ma médiumnité. Comme dit l’expression, “c’est en forgeant que l’on devient forgeron” !

Ma canalisation me surprenait et m’épatait de jour en jour. Je fermais parfois les yeux avant d’envoyer mon compte-rendu, puis ai appris à faire confiance à mes diverses perceptions.

Je ne sais plus quand est arrivée l’idée d’effectuer les séances en visioconférence. Il me semble qu’il s’agissait de l’idée d’une amie, je me suis prêtée au jeu. Encore une fois, un petit pas venait d’être effectué.

Une présence sur la toile et les réseaux sociaux

J’ai remanié mon site internet, pour qu’il corresponde davantage à mes envies et à mon énergie. Au fur-et-à-mesure, j’ai supprimé certaines prestations : sophrologie, hypnose, reiki, art-thérapie… Pour diverses raisons, j’ai mis du temps à les retirer : peur de perdre une partie de ma clientèle, peur d’être considérée comme “perchée” ou “folle”, besoin de reconnaissance à travers la mise en avant de mes diplômes et certifications, etc. Mais, petit à petit, j’ai fermé certaines portes pour en ouvrir d’autres, vers des chemins où je me sentais beaucoup plus alignée.

J’ai créé un compte Instagram, une amie m’ayant prôné ses bénéfices au niveau professionnel.

Puis, j’ai proposé beaucoup de prestations gratuites : jeux concours, soins en direct live, petits messages en stories, etc. Tout était bon pour me faire connaître et m’entraîner.

La mise en place des soins collectifs

Mes petites voix m’ont soufflé de mettre en place des soins collectifs. Je ne savais pas de quoi il s’agissait, ni en quoi ça consistait. Alors, j’ai fait confiance et j’ai testé ! Ce fut pour moi une véritable révélation !

Chaque jour j’en découvrais un peu plus sur moi, sur mes capacités, sur la méthode que je développais…

Le développement des formations au pendule

De fil en aiguille, des personnes m’ont sollicitée pour être formées au pendule. La formation initiale s’appelait “formation au pendule”. Puis, les choses ont évoluées. J’ai eu besoin de me démarquer, de trouver un nom, une nouvelle identité.

Mes petites voix m’ont alors soufflé d’utiliser l’expression “Désengrammation cellulaire“. Grâce à mon bagage de juriste en propriété intellectuelle, j’ai cherché. J’ai effectué des recherches d’antériorité, j’ai vérifié que le nom était libre, que personne ne s’en servait. Et je l’ai déposé en tant que marque.

Puis, les formations ont évoluées. J’ai essayé, autant que possible, de décortiquer ma façon de faire et d’interagir pour pouvoir l’enseigner et le transmettre. Finalement, les choses se sont faites de manière assez fluide. Cette méthode de Désengrammation cellulaire m’aide d’ailleurs régulièrement à faire face aux obstacles sur mon chemin. C’est ainsi que sont nés les différents modules et niveaux. Toutes les formations que j’anime, tous les accompagnements, m’aident quotidiennement à construire les futurs étages de la méthode.

L’agrandissement de l’équipe

Enfin, à un moment donné, il m’a paru évident qu’il était nécessaire d’agrandir l’équipe. Seule, je n’arrivais plus à faire face à la demande. Je devais donc faire appel à des personnes de confiance, bien évidemment, formées à la méthode. C’est donc tout naturellement qu’Ernestine et Clémentine sont entrées dans la partie.

Aujourd’hui, je fonctionne encore par petits pas. L’important est pour moi de déterminer quelles sont mes priorités, pour pouvoir avancer. Lorsque je rencontre une difficulté, je pars du principe qu’il existe toujours plusieurs solutions. Alors, je détermine lesquelles et je choisis celle qui me convient le mieux.

Une technique qui fonctionne à merveille avec moi !

Et avec toi ?

Se servir d'un pendule

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